mardi 31 juillet 2007

Réhabilitation du Chemin de Fer de Benguela (CFB) Lobito-Kolwezi : encore retardée...jusque fin 2009 ! Au moins...

Source :digitalcongo.net, La Prospérité
Date de survenance : 31 juillet 2007...et avant, et après...
Date de première publication sur Internet :02 août 2007

Texte intégral (limité à la ligne CFB) :
Le Chef de l’Etat a visité à Benguela le chantier en réhabilitation du terminal de la voie ferrée reliant la RDC et l’Angola.

(...)
Le président congolais a visité le chantier de réhabilitation du Chemin de fer de Benguela (CFB), détruit pendant la guerre civile angolaise (1975-2002), mais qui devrait bientôt permettre d’acheminer les exportations de minerais de RDC via l’Angola.
« M. Joseph Kabila s’est particulièrement intéressé aux délais de reconstruction du chemin de fer », a déclaré à la radio nationale le directeur du CFB, Daniel Kipaxe.

Il a précisé que la réhabilitation de cette voie ferrée de plus de 1.000 km entre le port angolais de Lobito (province de Benguela) et la localité congolaise de Kolwezi, avait été retardée, notamment par la présence de mines dont le territoire angolais reste truffé.

« Il était prévu que la réhabilitation s’achève en 2008.
Mais, compte tenu de contraintes diverses liées notamment au déminage, les travaux de réparation devraient prendre fin d’ici 2 ans et demi
», a déclaré M. Kipaxe.
(...)
* * * * * * * * * * * * * * * * *
Note du collecteur :
Il y a un an environ, on annonçait la réouverture de cette ligne Lobito - Kolwezi (et donc Lubumbashi et le restant du Katanga) pour...septembre 2007 !
(article archivé à l'époque, que je placerai sur la "Chronique" dès que possible = d'ici 15 jours environ)

Apparemment, depuis lors, l'échéance avait été repoussée à 2008 (sans que cela ne soit annoncé !)...et maintenant à décembre 2009 !...
Suivi de la concrétisation assuré !

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Plus d’un millier de nouveaux diplômés (surtout en "sciences sociales", très peu en médecine, ingéniorat...) au Katanga, pour peu/pas de débouchés...

Source : APA news
Date de survenance : 31 juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 01 août 2007

Texte intégral :
Plus d’un millier de nouveaux diplômés au Katanga, pour peu ou pas de débouchés

APA - Lubumbashi (RDC)

L’Université de Lubumbashi (UNILU) a mis sur le marché congolais de l’emploi, un millier de nouveaux diplômés de niveau licence dans diverses filières, au terme de l’année académique 2006-2007, ont indiqué les autorités de l’enseignement supérieur, à l’occasion d’une cérémonie officielle présidée ce mardi par le ministre d’Etat, en charge du secteur, M sylvain Ngabu.

Exactement 1.015 étudiants ont décroché la licence, ce qui est un record pour l’Université de la province du Katanga, qui se distingue surtout, au fil des années, par son respect du calendrier académique.

Ainsi, pour 2.243 cours programmés durant l’année académique 2006/2007, 2.190 ont été dispensés, donnant lieu à 41 % de réussites aux différents examens de fin de cycle.

Le cocktail organisé dans les locaux de la faculté de médecine a regroupé des centaines de personnes, généralement membres des familles des lauréats, a constaté APA.

La faculté de droit est celle où il y a eu le plus grand nombre de diplômés au titre de l’année écoulée, avec 300 diplômés, suivie dans l’ordre des sciences sociales politiques et administratives (180), médecine (90), sciences agronomiques et polytechnique (moins de 30 lauréats).

Créée en 1957, l’Université de Lubumbashi a ouvert 10 facultés et gère 5 écoles spécialisées.

En RDC, comme dans beaucoup d’autres pays africains, les diplômés de l’enseignement supérieur peinent à trouver un emploi.

Ici, ce sont plutôt les activités informelles qui s’offrent comme principaux débouchés : cambistes de rue, courtiers dans l’immobilier, chauffeurs taxi etc.
Certains, parmi les plus chanceux, trouvent à s’occuper dans les organismes non gouvernementaux, plus ou moins structurés.

Là réside une des raisons de leur émigration vers l’Europe, le Canada, les Etats-Unis ou l’Afrique du Sud, où ils vont grossir les rangs des « sans papiers ».

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Annonce du lancement du site du gouvernement provincial d'ici "2 semaines" ! Enfin !...

Source : le Ministre des Infrastructures, Urbanisme et Transport, Monsieur Fridolin KASWESHI MUKOSA
Date de survenance : 31 juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 31 juillet 2007, ici

Exclusif "La Chronique du Katanga" :
Un lecteur lushois de "La Gazette de Lubumbashi", sensible à ma recherche des coordonnées d'un responsable politique ou administratif qui pourrait prendre en compte les propositions d'un autre lecteur de cette "gazette", new-yorkais et disposant de contacts de haut niveau dans le domaine du développement durable et des bio-carburants (voir sur la "gazette"), m'a fait parvenir hier soir le numéro de GSM du ministre Kasweshi, pas du tout concerné mais "porte d'accès" aux autres ministres, dont celui en charge de l'environnement !

Ce matin, le ministre Kaswhesi, sur le point d'entrer en réunion, m'a écouté 1 bonne minute, le temps de me demander d'envoyer mes coordonnées électroniques par SMS (déjà fait) et de m'annoncer que "notre site sera ouvert d'ici 2 semaines" !

Enfin !
Espérons que le délai sera tenu et que les coordonnées électroniques des ministres (ou de leur assistant) et des divers départements et administrations seront disponibles !...

Ce site sera mentionné ici dès que j'en aurai connaissance.

lundi 30 juillet 2007

SAPMP (projet de marché d’électricité d’Afrique australe) démarrage en novembre, par la réfection de la ligne Inga-Katanga...avec 4 ans de retard ?!

Source : mediacongo.net, L'Observateur
Date de survenance : 30 (?) juillet 207
Date de première publication sur Internet : 31 juillet 2007

Texte intégral :
Le projet de marché d’électricité d’Afrique australe démarre en novembre.

L’objectif essentiel de la partie B de la phase 1 du SAPMP concerne l’accroissement de 300 à 500 mégawatts de la capacité de transit du corridor d’exportation d’électricité de la RDC vers les pays du SAAP (Afrique du Sud, Angola, Botswana, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibie, Swaziland, Zambie, Tanzanie et Zimbabwe).

Bien qu’approuvé par la Banque mondiale en novembre 2003 en faveur de la RDC, le projet n’a jamais démarré.
Et pour cause ?

Sam O’Brien Kumi, chef du projet à la Banque mondiale à Washington, actuellement en séjour à Kinshasa, l’a expliqué à un groupe de journalistes au cours d’un entretien à la mission résidente de la Banque.

A en croire cet expert, l’objectif du projet est de promouvoir un marché énergétique efficace au sein de la SADC, afin de créer les conditions favorables à l’intensification des investissements, accroître la concurrence et favoriser l’intégration économique régionale.

La RDC devait, à partir du site d’Inga jusqu’à la frontière de Kasumbalesa, au Katanga, exporter l’électricité vers les pays du SAPP, grâce à une interconnexion. Malheureusement, le projet a connu un retard dans sa mise en exécution.
Et pourtant, initialement, il devait être clôturé le 31 décembre 2007.
Tout reste encore à faire.

Un retard de 4 ans.

Selon Sam O’Brien Kumi, le projet a connu véritablement un retard de 4 ans.
Et cela est considérable.
Ce retard est consécutif au contexte politique de la RDC qui n’a pas permis le démarrage du projet.
Actuellement, celui-ci est dans une phase d’implémentation.
C’est vers novembre que le projet va véritablement démarrer et devra prendre fin en 2011, selon les prévisions.

Actuellement, c’est l’étape de conclusion des contrats.
Concrètement, il va s’agir dans ce projet de réhabiliter et moderniser la ligne haute tension d’électricité entre la centrale hydroélectrique d’Inga et Kolwezi, puis Kasumbalesa.
De sa prestation, il ressort que la ligne de transport de courant Inga–Katanga est restée pendant très longtemps sans réhabilitation.

Ainsi, les performances techniques du système de transport se sont dégradées au fil de temps pendant près de 30 ans.
Conséquence :
les contrats d’exportation d’électricité conclus avec les autres pays de la SADC n’ont pas été respectés.
D’où la nécessité de restaurer et moderniser tout le système de transport vers l’Afrique australe, via le Katanga.

Actuellement, la capacité de transport sur la ligne haute tension Inga–Kolwezi a baissé entre 300 et 250 mégawatts.
Au terme du projet, l’objectif est de retrouver la capacité initiale de 500 mégawatts d’électricité transportée.

Pour mémoire, le SAPMP comprend 10 composantes.

La composante 1 concerne le renforcement et la réhabilitation de la ligne de transport du courant direct entre Inga et Kolwezi.
Et cela, grâce à des services consultatifs techniques et l’acquisition d’équipement.

Quant à la composante 2, elle porte sur les travaux de réhabilitation du réseau de courant alternatif entre Kolwezi et Karavia, le poste d’interface de courant alternatif d’Inga et la ligne de transport d’électricité entre Karavia et la frontière du territoire de la RDC.

La composante 3 a trait à la construction des lignes de transport d’électricité de Fungurume et Karavia, et de Karavia et la frontière de la RDC.

Dans la composante 4, il est question d’étude de préparation des spécifications techniques et de fonctionnement nécessaires à l’exécution du projet.

La Banque mondiale a 2 projets dans l’électricité.

La composante 5 concerne la réalisation d’infrastructures communautaires (santé, hydraulique, assainissement) au bénéfice des populations le long du parcours de la ligne de transport d’électricité entre Fungurume et Karavia, et entre Karavia et la frontière de la Zambie,…

La composante 8 porte sur le renforcement des capacités des agents de la Snel, en matière d’exportation d’électricité.
A travers le SAPMP, il sera mis en place un bon système de gestion d’électricité, grâce à la fibre optique pour les télécommunications à haut débit.
Pour bien transporter le courant d’Inga au Katanga, il faut avoir des données et des informations.
D’où l’importance des capacités en télécommunications.

Quant aux capacités en surplus, elles seront disponibilisées pour le secteur privé. Cela va permettre à la RDC de baisser ses coûts de télécommunications.
La mise en place de ce volet télécommunications va permettre à la RDC de se connecter au câble sous-marin SAT 3 qui passe le long de la côte atlantique.
A partir de la centrale d’Inga, cette connexion avec la Côte d’Ivoire de l’Océan Atlantique pourrait bénéficier à tout le pays, a renchéri Sam O’Brien.

Toutefois, celui-ci a tenu à souligner que le SAPMP ne concerne que la fiabilisation et la modernisation de la ligne de transport Inga–Katanga.
Pour la fiabilisation et la mise à niveau des installations d’Inga (turbines et autres), la Banque mondiale a approuvé en mai 2007, un don de 300 millions USD en faveur de la Snel.

Il est question dans ce nouveau projet d’accroître la disponibilité et la fiabilité d’énergie électrique à faible coût en RDC et dans les pays d’Afrique australe et centrale.

Et cela, grâce à la remise à niveau des centrales d’Inga 1 et 2, à la construction d’une deuxième ligne de transport d’Inga à Kinshasa, la remise à niveau et à l’extension du réseau d’alimentation en électricité à Kinshasa.

Comme on le constate, il s’agit de 2 projets tout à fait distincts.
Mais, les 2 sont complémentaires, a conclu Sam O’Brien Kumi.

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Note du collecteur :

les composantes 6, 7, 9 et 10 se sont volatisées, semble-t-il !...


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mardi 24 juillet 2007

Des foyers des Maï-Maï (pas tous armés) subsistent encore au Nord du Katanga mais la situation sécuritaire reste "relativement calme"...

Source : Radio Okapi
Date de survenance : 24 juillet 2007...et avant, et après...
Date de première publication sur Internet : 24 juillet 2007

Texte intégral :
Des foyers des Maï-Maï subsistent encore au Katanga.

Selon le colonel Moumouni Zankoro, commandant de la brigade de la Monuc qui a livré l’information, la situation sécuritaire de la province reste cependant relativement calme, rapporte radiookapi.net

A Kongolo, l’effectif de ces Maï-Maï est estimé à un millier.
Combattants et leurs dépendants confondus.

Dans d’autres contrées du Katanga, ils sont entre 150 et 200, sauf à Mitwaba où un certain général « Maho » serait à la tête de 500 personnes.

L’officier de la brigade de la Monuc minimise cependant l’existence de ces foyers des Maï-Maï.

D’après le colonel Moumouni Zankoro, il ne s’agit pas réellement toujours des combattants pourvus d’un armement.
"De toute manière, toutes ces personnes doivent être démobilisées volontairement, ou par la force, s’il le faut" a-t-il indiqué.

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samedi 21 juillet 2007

Augmentation inquiétante des vols des produits cuivreux, le gouverneur Katumbi suspend toutes les transactions de "mitrailles" !

Source :Radio Okapi
Date de survenance :21 juillet 2007
Date de première publication sur Internet :23 juillet 2007

Texte intégral (limité aux aspects provinciaux !) :
Lubumbashi : mitrailles, transactions suspendues.

La décision du gouverneur du Katanga a été signée ce samedi 21.
Elle fait suite aux vols des produits cuivreux, qui, selon Moïse Katumbi, auraient pris des proportions inquiétantes dans sa province, rapporte radiookapi.net

Les derniers cas de vols signalés, sont ceux découverts samedi dans la ville de Kolwezi :
La Gazette de Kolwezi www.kolwezi.info: Kolwezi : 2 vols mis au jour entraînent, à L'shi, la suspension des transactions de "mitrailles", par le gouverneur du Katanga !...

Autant des raisons pour lesquelles le gouverneur Moïse Katumbi a interdit jusqu’à nouvel ordre l’importation, l’exportation et la commercialisation des mitrailles.

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vendredi 20 juillet 2007

Depuis 3 semaines, la division provinciale des transports retire les anciens permis de conduire "République du Zaïre" sans en fournir de nouveaux !

Source : Radio Okapi
Date de survenance : 20 juillet, et avant, et après ?...
Date de première publication sur Internet : 20 juillet 2007

Texte intégral :
A Lubumbashi,retrait des anciens permis de conduire portant la mention République du Zaïre,mais curieusement les nouveaux permis ne sont pas en circulation.


Depuis 3 semaines, la division provinciale de transport et communication au Katanga procède au retrait des anciens permis de conduire portant la mention République du Zaïre.

Leurs détenteurs doivent les remplacer par de nouveaux permis après un test pour évaluer si le détenteur sait conduire.

Pour les responsables de la division de transport, c'est une manière de lutter contre les accidents qui sont devenus très fréquents à Lubumbashi.

Après une campagne de sensibilisation à l'intention des chauffeurs, la police de circulation routière annonce le début dans les prochains jours du contrôle pour mettre la main sur tous ceux qui n'auront pas remis leurs permis à la division de transport.

Nicole Ngaka et Jr Lungembo font le point avec le chef de Bureau d'études et planification à la direction des études (de la province du) Katanga.

Fichier audio (25 minutes) téléchargeable sur le site de Radio Okapi, rubrique "Okapi Action", section podcasting (pas de lien direct disponible !)

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jeudi 19 juillet 2007

Atelier de réflexion (ASADHO/Katanga & RMAC/Katanga) : "5 ans du code minier congolais, quel profit pour la RDC ?"...

Source :Radio Okapi
Date de survenance : 19-20 juillet 2007
Date de première publication sur Internet :21 juillet 2007

Texte intégral :
Lubumbashi : 5 ans du code minier congolais, quel profit pour la RDC ?

C’est le thème de réflexion de l’ONG des droits de l’Homme Asadho/Katanga et le réseau des médias associatifs et communautaires de la province.
Ils ont considéré, plus précisément, la mise en application de cette loi, rapporte radiokapi.net

Selon les participants à cet atelier, le code minier est appliqué de façon très insuffisante.
La conséquence en est que le secteur minier ne permet pas le développement de la RDC, quoiqu’il soit très exploité.

Selon Claude Katende, président de l’Association Africaine des Droits de l’Homme, il y a des entreprises qui ne respectent pas les dispositions du code en terme d’environnement :
« Ces entreprises polluent des rivières, font des déboisements des forêts sans aucun programme de reboisement et déplacent des populations sans un dédommagement conséquent.»

L’Asadho déplore les faiblesses des conventions minières.
Pour Claude Katende, il y manque des dispositions relatives à la protection de l’environnement :
« Le code minier refuse l’exonération des taxes comme aussi des impôts.
Mais quand vous allez dans les conventions minières, vous allez trouver que beaucoup d’entreprises bénéficiaires de ces conventions sont exonérées.
Et là, nous constatons qu’il y a un grand manque à gagner pour le gouvernement congolais.
»

Les participants recommandent entre autre l’application effective du code minier.

Ils prônent aussi le contrôle des activités des industries minières au Katanga ainsi que la suppression des conventions minières.
Selon eux, elles accordent trop d’exonérations aux entreprises.

L’atelier de 2 jours se clôture vendredi.

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mercredi 18 juillet 2007

Ministre prov. de l'Agriculture : les "minings" obligées de cultiver 500 ha de maïs dès septembre...indépendamment de leur taille ?!...

Source : APA news
Date de survenance : 18 (?) ou 20 (??) juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 27 juillet 2007

Texte intégral :
Le Katanga a un déficit alimentaire de 700.000 tonnes de maïs par an.

APA-Lubunbashi (RDC)

La province congolaise du Katanga, considérée comme le poumon économique de la République démocratique du Congo (RDC) avec une population estimée à plus ou moins 8.000.000 d’habitants, connait un déficit alimentaire de plus de 700.000 tonnes de maïs par an.

Les besoins alimentaires de cette province en maïs, aliment de base de la population, sont estimés à plus 1.200.000 tonnes par an alors que la production de cette denrée est de 500.000 tonnes, selon M. Juvenal Kitungwa Lugoma, ministre provincial de l’Agriculture.

M. Kitungwa s’exprimait vendredi au cours d’une rencontre avec les opérateurs miniers de la province du Katanga.

Il a indiqué que ce déficit est comblé par des importations des maïs (grain ou farine) de l’Afrique Australe, rendant ainsi le Katanga tributaire de cette région sur le plan alimentaire.

Pour mettre fin à cette situation, a dit M Juvenal Kitungwa Lugoma, le gouvernement provincial vient de prendre une mesure obligeant chaque entreprise minière à cultiver chaque année une superficie de 500 hectares de maïs en vue de résorber le déficit de la production locale.

Les responsables des entreprises minières, par le biais de M. Félicien Yamba Tshibangu, président de la Fédération des Entreprises du Congo (Chambre du Commerce) pour la ville de Lubumbashi, ont exprimé leur adhésion à cette mesure en posant certaines conditions notamment l’exonération des taxes pour alléger leurs charges.

Cette mesure entre en vigueur dès la saison culturale 2007 - 2008 dont les activités sont prévues à la fin du mois de septembre prochain.

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Note du collecteur :
Il semble que, une fois de plus, APA annonce une nouvelle avec une semaine de retard...et de décalage !...

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Gouvernorat & gouv. provincial : les entreprises minières sommées à cultiver le maïs ! ...Qui va faire comprendre certaines choses à Katumbi ? !....

Source : Radio Okapi
Date de survenance : 18 juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 20 juillet 2007

Texte intégral :
Lubumbashi : les entreprises minières sommées à cultiver le maïs !

La décision est tombée ce mercredi.
Elle émane du gouvernement de province.
Selon Moïse Katumbi, l’objectif est de combattre la malnutrition qui sévit au Katanga, rapporte radiookapi.net

Les opérateurs miniers ont accueilli favorablement cette initiative.
Selon le gouvernement provincial, ces entreprises devraient déjà être à l'œuvre d'ici le début de la campagne agricole 2007-2008.

Le ministre de l'agriculture, pêche, élevage et développement rural a réuni mercredi les opérateurs miniers du Katanga.
Juvenal Kitungwa Lugoma leur a annoncé que la province du Katanga se trouvait dans une situation d'insécurité alimentaire absolue :
1.280.000 tonnes de maïs par mois (...ou par an ? Note du collecteur) devraient être consommés normalement par la population du Katanga.
Environ 500.000 tonnes seulement sont disponibles.
Ce qui implique un déficit de 50% (...au moins ! Note du collecteur) dans la production du maïs.

Selon Juvenal Kitungwa, pour combler ce déficit, le Katanga est obligé de recourir aux importations.
« Pour combler ce déficit, souvent, on recourt aux importations.
Alors, pour essayer de parer à cette difficulté, nous considérons que la sécurité alimentaire doit passer avant tout par une production au niveau intérieur de la province
. »

Les opérateurs miniers affirment avoir accueilli favorablement cette initiative.
Ils précisent en revanche que la mise en application de cette initiative exige quelques préalables.
Felicien Yamba Tshibangu, président de la fédération des entreprises du Congo :
« C'est une bonne initiative.
Nous l'avons saluée.
Mais, il y a encore un peu des préalables.
A l'issue de la réunion, il a été prévu qu'on fasse des commissions.
Mais d'abord, nous avons eu l'information.
Nous allons l'étudier et puis nous allons donner des réponses concrètes au moment opportun


Le gouvernement provincial précise que l'exécution de ce projet est obligatoire.
Selon le code minier, les entreprises minières doivent s'investir dans le secteur social et de développement des populations locales.

* * * * * *
Notes du collecteur :

1/ quelqu'un pourrait-il expliquer à Katumbi que ...
" à chacun son métier", que "gouverner, c'est prévoir", que s'ils avaient été POLIS et EFFICENTS, lui (en novembre 2006, via www.tpmazembe.com) et son fils Champion (!) (le 1er mai 2007, via son blog...) auraient répondu à mes messages, directement liés à cette problématique de la malnutrition au Katanga, dans les hôpitaux et ailleurs...

2/ Katumbi a déclaré récemment, lors de l'énumération de divers "cadeaux" offerts à une multitude d'administrations et organisations (y compris 2 ambulances...à Kinshasa, qui semble donc faire partie du Katanga, selon lui. S'il a trop d'argent, le Nord-Katanga, futur Haut-Lomami, a de multiples fléaux à combattre : détails disponibles un peu partout, chez moi s'il ne les trouve pas)qu'il va "bientôt lancer un site Internet où toutes les actions et dépenses de la province seront affichées" (texte reconstitué, je n'ai pas le temps de le rechercher mais je peux le retrouver)...
Que ne l'a-t-il fait depuis des mois et des mois ????????

Je suis désolé de constater que la grande et riche province du Katanga, et son grand et riche gouverneur, ne disposent pas d'un simple site vitrine ni même d'UNE adresse électronique !
Chaque jour ou presque, quelqu'un arrive sur cette "Gazette" en cherchant sur Internet "coordonnées de Moise Katumbi" ou "adresse électronique gouvernorat katanga"...et d'autres informations tout aussi basiques telles :
"plan de Lubumbashi " ou "investir à Lubumbashi", etc.

3/ Je signale que, du temps des splendeurs de l'UMHK et de la Gécamines, elles avaient des champs de maïs "conséquents" (15.0000 hectares ?), EFFECTIVEMENT gérés (rotation des cultures,...) au nord-Katanga (Manono), car le terrain et les conditions climatiques s'y prêtent mieux qu'au sud-Katanga.
Témoignage recueilli en 2004 d'un ancien responsable...

4/Je signale aussi que maïs et manioc sont des cultures d'importation,imposées(ainsi que leur mécanisation, leur industrialisation) par le colonisateur pour nourrir les masses humaines (locales et surtout "importées"...) nécessaires par l'exploitation industrielle forcenée du Haut-Katanga.

D'autres cultures, d'autres modes de cultures sont possibles, plus adaptés à la réalité socio-climatique du Haut-Katanga, qui créent et assurent nombres d'emplois (= exploitations agricoles familiales, artisanales voire urbaines ou péri-urbaines) plus valorisants et moins pénibles que le travail de mineur, de creuseurs, de portefaix (voir article Syfia Grands Lacs sur "La Gazette de Kolwezi" de ce jour...).

Outre qu'il devrait être moins impulsif, plus réfléchi (et renseigné, documenté, informé), et plus respectueux, Katumbi devrait aussi veiller à bien s'entourer, à bien choisir les "experts" qui influencent son gouvernement, y compris dans le domaine agricole, y compris quand ils sont généreusement (!) "offerts par le Nord"...

Je sais de quoi (ou plutôt de qui) je parle :
pour lui, en juin 2004, "On ne peut rien faire pour le Katanga car vous êtes enclavés ! Si vous étiez au Bas-Congo, on pourrait vous aider"...et, de toute façon, selon cet "expert agricole", il ne fallait pas chercher à produire de l'alimentaire à bas prix au Katanga : "Investissez à Kin ou au Kasaï, car là, ils ont de l'argent pour acheter des produits chers" !...

5/ Qu'il serait temps de cesser de reproduire les schémas de pensée hérités de la colonisation (régime des concessions, absence d'Etat mais "délégation" (!) des fonctions régaliennes aux "concessions", véritables états dans l'Etat...) et de se comporter en véritable Etat, qui ASSUME ses fonctions :
dans un pays "normal", les entreprises paient leurs impôts et taxes locaux, régionaux, nationaux, c'est tout (et elles respectent un tant soit peu lois et règlements...).

L'Etat, la "res publica", au niveau local/régional/national gère ces impôts et taxes et ASSUME, à CHAQUE niveau, ses PREROGATIVES, plus ou moins bien, plus ou moins complètement.
Je signale à propos de prérogatives que celles d'un gouverneur de province de la RDC sont définies par la constitution, qu'elles ne sont pas indéfinies, infinies...


Fin (temporaire) de ce coup de gueule.

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mardi 17 juillet 2007

DGM : le directeur provincial rassure les étrangers sur les conséquences des grèves à la frontière...

Source : Radio Okapi
Date de survenance : 17 (?) juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 17 juillet 2007

Texte intégral :
Lubumbashi: grève à la frontière, la DGM rassure les étrangers.

La Direction Générale de Migration se dit préoccupée par la situation des étrangers, qui, indépendamment de leur volonté, se retrouvent en irrégularité de séjour en RDC.

Le directeur provincial de la DGM, Consul Numbi, rassure qu’une solution sera trouvée par les autorités compétentes, rapporte radiookapi.net

Il a déclaré:
« En fait, sur le plan de la loi, quand un visa expire, l'irrégularité de séjour est consommé.
Nous allons présenter le problème à notre hiérarchie pour signifier que ce n'est pas par la volonté de ces étrangers qu'ils se trouvent aujourd'hui chez nous avec des visas expirés.
Mais c'est parce qu'il y a des agents et cadres de l'OFIDA qui sont et qui ont tout bloqués et je crois que les autorités vont être compréhensives, la hiérarchie va être compréhensive pour qu'on ne passe pas à l'arrestation de tous ces étrangers qui se retrouvent en situation d'irrégularité de séjour.
Mais par contre qu'on va leur accorder notre compréhension parce que c'est indépendamment de leur volonté.
»

Lien vers le texte original, intégral

vendredi 13 juillet 2007

Gabriel Kyungu wa Kumwanza en visite dans la partie nord du Katanga, défenseur ( !) des Droits de l'Homme, dénonce les tracasseries policières !

Source : Radio Okapi
Date de survenance : 13 (?) juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 13 juillet 2007

Texte intégral :
Lubumbashi : l'Assemblée provinciale dénonce les tracasseries policières.

L’honorable Gabriel Kyungu wa Kumwanza, président de l’Assemblée provinciale, a fait une tournée dans la partie nord de la province.
Il parle du rançonnement et de la torture qui y sont devenus monnaie courante, rapporte radiookapi.net

Gabriel Kyungu wa Kumwanza déplore par la même occasion la passivité des autorités administratives locales :
« Certains commandants, au niveau de certaines localités, se comportent en potentats et font ce qu’ils veulent.
Les cachots continuent, les rançonnements continuent ; les tracasseries aussi.

Cela, sous la barbe de ces administrateurs qui ont peur de sauver, qui ont peur de défendre les pauvres populations.
J’ai vécu pareille situation partout.
Et j’épinglerai ici le cas, par exemple, de Bukama où on a tabassé des gens, on a déshabillé les pères des enfants, on a molesté et on a tabassé.

Nous n’allons pas accepter cela.
Moi, j’ai horreur de la dictature.
Et ce qu’ils sont entrain de faire, c’est la violation flagrante des droits de l’homme.
Pratiquement, ça devient un fléau.
Nous allons nous adresser au près de qui de droit pour que des telles pratiques cessent.
Et j’ai aussi demandé à tous les députés qui me suivent maintenant, les députés du Katanga de s’impliquer pour faire cesser toutes les formes de tracasseries dans leurs fiefs respectifs.
»

L’administrateur assistant du territoire de Bukama a confirmé les faits.
Mais il le reconnaît surtout pour les localités éloignées.
Selon Idesbalde Malulumba, l'accès à ces localités lui est difficile, faute de moyens de transport.

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dimanche 8 juillet 2007

Un investisseur lushois cherche, au Katanga, une ( petite) activité économique à créer ou à "booster", avec un associé !

Source : mediacongo.net
Date de survenance : 08 juillet 2007
Date de première publication sur Internet : 08 juillet 2007

Texte intégral :
Annonce de recherche d'opportunité d'affaires :
"Un petit business au Katanga. Proposition ?"


Pays : République Démocratique du Congo ou Congo-Kinshasa ou R.D.C.

Annonce :
Salut!
J'ai 2.000$ sur moi, je ne sais quoi en faire.
Avez-vous l'idée d'un petit business que nous pouvons faire ensemble?
Avez-vous un petit business où je peux investir cet argent?
(Sur l'étendue du Katanga seulement).

Contactez-moi svp avec détails explicites à mon adresse électronique:
pataleko"arobase"yahoo.com

Merci d'avance!
Patrick

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mardi 3 juillet 2007

Moïse Katumbi fait "renaître" le Katanga !...

Source : allAfrica, Le Potentiel
Date de survenance : 30 juin...03 juillet
Date de première publication sur Internet :27 juillet 2007

Texte intégral (limité aux aspects provinciaux !) :
Congo-Kinshasa: Pour la renaissance d'un Katanga fort et prospère, Moïse Katumbi Chapwe fait front à tous les défis.

Investi le 29 février par l'Assemblée provinciale, le «maillot jaune» des gouverneurs démontre, le 30 juin, sa réelle capacité de mobilisation populaire et d'acquisition des « outils » de travail.
Le 3 juillet, il lâche ses ministres dans les chantiers.
Avec eux, toute la province se remet au travail.
Très promoteur début de mandat.

Le prénom chrétien dans tous les airs du temps!
«Moise, c'est qui? Moïse est le Mulopwe » Refrain fétiche du groupe d'animation «100%», rythmé de contorsions et de mimiques de son animateur vedette.
Sans doute, aussi, le prénom biblique le plus glorieux de l'histoire du Katanga. Celle, exceptionnelle, du leader charismatique Moïse - simple homonymie- Kapenda Tshombe dont il hérite de la mythique voiture de fonction (un décapotable Continental des années 60, bien retapé).

Celle, nostalgique, de l'UMHK, de KDL, de CFL dont se souviennent les inconsolables « retraités » de 3 salaires par mois ...
Celle, fabuleuse, de la croissance économique en flèche stoppée net par la nationalisation et la zaïrianisation, et à laquelle la longue parenthèse des transitions politiques porte le coup de grâce.

Et voici la spirale des «minings », cousue de fraudes, de corruption, de trafic d'influence, de la famine, de la déchéance morale et infrastructurelle.

Quoi ? Le Katanga, au rare sous-sol pétri du très sensible et stratégique uranium, aux lacs et fleuves parmi les plus poissonneux du continent, aux forêts et savanes fertiles, ne déguste plus que du tilapia et du chinchard surgelés.
Il ne consomme plus que du « bukari » et de « mikate » préparés avec de la farine de « from Zambia », ne construit plus qu'avec du ciment et des matériaux importés.
Il ne se vêt et ne se chausse plus qu'avec du « made in China ».
Quelle décadence!

Le processus électoral crée l'électrochoc.
La présidentielle couplée avec les législatives d'abord, avec l'élection de Joseph Kabila Kabange à la présidence de la République.
Suivie de provinciales et de sénatoriales couronnées au Katanga par un historique raz-de-marée en faveur du PPRD Moïse Katumbi Chapwe.
Dont l'élection au gouvernorat apparaîtra comme de la pure formalité.
A son investiture, devant l'Assemblée provinciale présidée par le « patriarche » Antoine-Gabriel Kyungu Wa Kumwanza, Moïse, comme l'appelle familièrement la population, jure de rompre « avec le passé, la mauvaise gouvernance, la gestion prédatrice et l'impunité ».

Il « annonce la renaissance d'un Katanga fort et prospère poumon de l'économie congolaise, oasis de paix pour toutes les communautés qui y vivent et locomotive du développement intégral du Congo, celui de Joseph Kabila Kabange ».

Promesses post-électorales?
« Le président sponsor» du TP Mazembe, le club congolais le plus présent sur la scène africaine de football, tient en mains sa «Bible» pour guérir les plaies du Katanga : le « Plan triennal de développement ».
«La base logistique» de ce plan, c'est le gouvernorat du Katanga.

Dans la cour, dans les allées empierrées, où y aligne véhicules utilitaires, voitures, engins de génie civil, ambulances, remorques, camions citernes; on y entasse des cargaisons aux divers contenus.

Ceci correspond parfaitement à la politique de Moïse Katumbi :
accumuler les moyens techniques avant de démarrer l'exécution du Plan Triennal de Développement du Katanga (PTD).

Sa tirelire se remplit chaque mois de 1,5 million de dollars américains provenant des recettes de péage sur la route Lubumbashi -Kasumbalesa.

L'Ofida et la DGI/Kasumbalesa (poste frontalier avec la Zambie) lui fournissent une cagnotte respectivement de 520.000.000 Fc (francs congolais) en juin contre 570.000.000 Fc en mai (baisse due aux fluctuations de change défavorables aux droits d'entrée facturés en monnaie américaine), de 120.000.000 Fc prévus en juillet contre 103.000.000 Fc en juin dernier.

Les recettes que réalise la province montent en flèche depuis que Moïse Katumbi a «ouvert un chantier spécial » pour lutter contre la fraude et la corruption sous toutes leurs formes.

Avec ces encaisses, le Katanga procède à des acquisitions progressives des matériels de chantier, dont un échantillon, présenté le 30 juin 2007 lors du défilé fleuve, a plongé dans l'hystérie la foule rassemblée à la Grand-Place Moïse Kapenda Tshombe.
« Que ne fera-t-il pas avec 40 % », avait scandé la foule prenant Vital Kamerhe à témoin.

Le mardi 03 juillet, Jean-Marie Dikanga Kazadi, ministre provincial de l'Intérieur et porte-parole du gouvernement, annonce, à l'issue d'un conseil des ministres présidé par Moïse Katumbi Chapwe, que «le gouverneur de province demande à tous les ministres d'ouvrir petit à petit des chantiers», c'est-à-dire au fur et à mesure des acquisitions et de l'accumulation des moyens techniques et financiers.
Il ajoute que le ministre des Infrastructures, Fridolin Kashweshi, est instruit de démarrer, sans tarder, la réhabilitation de la voirie de la ville de Kolwezi.
Simple rappel a l'ordre quand on sait que les travaux en cours touchent à tous les secteurs à travers toute la province.

(... suite : actions à Lubumbashi et santé publique à Lubumbashi : sur "La Gazette de Lubumbashi")

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lundi 2 juillet 2007

Katumbi se porte garant de l'achat à crédit de 80 véhicules utilitaires pour la province, à rembourser par la province "lors de la rétrocession" !

Source : Radio Okapi
Date de survenance : 02 juillet (?) 2007
Date de première publication sur Internet : 02 juillet 2007

Texte intégral :
Lubumbashi : 80 véhicules utilitaires pour la province.

Le gouvernorat du Katanga a acquis près de 80 véhicules utilitaires.
Un lot composé entre autres d’ambulances, de jeep tout terrain, de camionnettes et d’engins de génie civil.

Moïse Katumbi affirme que ces véhicules seront payés à partir de la rétrocession, rapporte radiookapi.net

Selon le gouverneur du Katanga, ces véhicules ont été pris à crédit.
Ils ont coûté près de 9 millions de dollars.
« On a fait un appel d’offre et on a choisi celui qui était le moins cher et qui pouvait nous vendre… donc, c’est un prêt où j’ai pris un engagement personnel.
Nous allons commencer à rembourser quand nous allons recevoir les 40% retenus à la source.
Mais, c’est à peu près 9 millions de dollars.
Nous allons donner une partie à la Snel, une partie à la Régideso.
Il y aura aussi une partie à la police, pour la sécurité, et pour les administrateurs du territoire.
Il n’y en a même pas assez.
Il y a d’autres véhicules qui vont venir parce que nous voulons que la population puisse vivre en paix.
»

Selon Moise Katumbi, il faut que son gouvernement soit prêt à se prendre en charge d’ici le départ de la Monuc.
« Aujourd’hui, il y a la Monuc qui est entrain de nous aider.
Mais d’ici peut-être 5 ans ou 10 ans, quand la Monuc va rentrer, si nous ne pouvons pas nous occuper, nous-même, de notre population en province, ce sera un grand problème !
»

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Note du collecteur :
Encore et toujours faire référence et compter sur l'aide étrangère le plus longtemps possible !
Pas de fierté, de volonté de, tout simplement, S'ASSUMER au plus tôt !...

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