lundi 5 novembre 2007

Interruption pour une durée indéterminée, peut-être définitive....

Source :moi-même
Date de survenance :entre le 05 et le 20 novembre 2007
Date de première publication sur Internet :05 février 2008

Texte intégral :
(ce message aurait dû être rédigé mi-novembre 2007...mais la motivation n'y était pas puis j'ai eu diverses autres contrariétés...)

Les détails sont disponibles sur "La Gazette de Kolwezi", par laquelle tout a commencé !

Concernant le Katanga, outre l'épidémie de choléra qui s'étend, je signale que la rage frappe de plus en plus : voir sur radio Okapi...

vendredi 2 novembre 2007

A quand le déclenchement d'une véritable alerte sanitaire pour contrer l'épidémie galopante de choléra ? Où restent Katumbi et consors ?...

Source : Radio OKapi
Date de survenance : 02 novembre 2007...et avant, et sans doute après...
Date de première publication sur Internet : 03 novembre 2007

Texte intégral :
Lubumbashi: 1.000 cas de choléra en 6 semaines dans la province.

Ces statistiques sont publiées par MSF Belgique depuis ce vendredi.

Il faut des stratégies pour stopper la propagation vers Lubumbashi, estime le coordonnateur de cette ONG internationale, rapporte radiookapi.net

Un seul décès a été enregistré jusque-là.

D'après le MSF, la prise en charge de patients se fait en dehors de la ville.
Cela, pour éviter la propagation de l’épidémie au centre de Lubumbashi.

Aussi, la prise en charge des malades en dehors personnes atteintes en dehors du chef-lieu de la province du Katanga, permet-elle, indique la même source, l’accès aux soins des personnes vivant sur l’axe Kasenga-Lubumbashi.

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Note du collecteur :

1/pas de trace de cette nouvelle sur le site Internet de MSF Belgique, que ce soit en français ou in het Nederlands !...

2/il y a quelques jours, un article consacré à l'apparition du choléra à L'shi a été publié sur "La Gazette de Lubumbashi"...
Il y était mentionné que la maladie y avait déjà fait 3 morts (et non 1 seul, ailleurs au Katanga !...)

Il y était mentionné aussi que Floribert avait organisé une réunion des principaux responsables (administratifs, chefs de quartiers, etc.) pour juguler cette menace !
Initiative louable, qui le fait (un peu) remonter dans mon estime.

4/MAIS, il y était aussi exposé, en gros, que "on ne tient pas à alerter la population sur ce danger, car on ne veut pas créer de panique" !!!!
Ha oui ?
"On" veut d'abord compter les victimes par dizaines, centaines, milliers ?...
C'est HONTEUX !!!!!

Que font donc Katumbi (responsable du Katanga, tout entier, je le répète), les ministres et députés provinciaux (responsables, eux aussi, au niveau de la province, toute entière; je le répète, aussi) ?...

Lien vers le texte original, intégral

La délégation syndicale de la Direction Générale des Impôts (DGI) Katanga désapprouve le programme des réformes entreprises pour les provinces !

Source :Radio Okapi
Date de survenance : 02(?) novembre 2007
Date de première publication sur Internet : 03 novembre 2007

Texte intégral :
Lubumbashi: Impôts, le syndicat de la DGI contre les réformes.

La délégation syndicale de la Direction Générale des Impôts (DGI) Katanga désapprouve le programme des réformes entreprises pour les provinces.

Ces réformes consistent notamment en l'installation dans les directions provinciales des Centres des impôts spécifiques pour chaque catégorie de contribuables, rapporte radiookapi.net

Pour le syndicat de la DGI/Katanga, ces changements vont à l'encontre des intérêts des agents.

Mais le directeur provincial des impôts, Dieudonné Lokadi Moga rassure et indique que ces nouvelles structures font parties de la DGI.

Il donne des précisions sur leurs attributions:
"Au niveau de chaque province, on a instauré un interlocuteur fiscal unique pour chaque contribuable :

- Les contribuables dont le chiffre d'affaires annuel dépasse le seuil de 400.000 US$, relèvent de la Direction des Grandes entreprises,

- ceux dont le chiffre d'affaires est situé entre 50.000 et 400.000 US$, relèvent des centres des impôts.

- Et ceux dont le chiffre d'affaires est situé entre 10.000 et 50.000 US$, relèvent des centres d'impôts synthétiques,

- tandis que ceux dont le chiffre d'affaires annuel n'atteint pas 10.000 US$, la DGI s'en dessaisit au profit des entités administratives décentralisées pour être soumis à la patente ".

Lien vers le texte original, intégral